L'île de Vancouver
Canada
- 700 000 habitants
- 32 134 km2 de superficie
- 3 440 km de côtes
Les fiches pédagogiques
B2
Vancouver - Apprenant
B1
Vancouver - Professeur
B1
Vancouver - Apprenant
A2
Vancouver - Professeur
A2
Vancouver - Apprenant
Photos
-
Baleines au large de l’île de Vancouver -
Le phare de Fisgard, près de Victoria, est le plus vieux phare de la côte ouest canadienne -
La forêt du Parc provincial de la rivière Cowichan -
Escalade sur une montagne de l’île de Vancouver -
Surf sur les eaux de Tofino -
Une des fresques de Chemainus, qui retrace l’histoire de la ville -
Pic enneigé dans la région de Nanaimo -
Maisons dans les arbres « Free Spirit Spheres », dans la forêt au nord de Nanaimo -
Otarie sur l’île de Hornby -
Dans un quartier de la ville de Vancouver, l’horloge de Gastown est actionnée grâce à la vapeur -
Stanley Park borde le centre-ville de Vancouver -
Panorama du centre-ville de Vancouver -
Vue aérienne de la ville de Vancouver et de Stanley Park -
Pow Wow dans la région de Squamish -
Festival d’été francophone de Vancouver -
Le Hatley Castle, sur le campus de la Royal Roads University, à Victoria -
Butchart Gardens, jardins d’exposition florale près de Victoria -
Communauté de maisons flottantes dans le port de Victoria -
Vue du port de Nanaimo -
Rue Grandville, rue des théâtres, salles de spectacles, boîtes de nuit à Vancouver
Géographie

En Colombie-Britannique, l’île de Vancouver se trouve sur la côte Pacifique du Canada, face à la ville de Vancouver, avec laquelle il ne faut pas la confondre !
Superficie : 32 134 km2
Population en 2006 : 721 758 habitants dont 330 088 habitants à Victoria
Tourisme

Réserve du parc national du Canada Pacific Rim,
Safari photo aux orques à Victoria,
plonger avec les phoques à Snake Island,
Parc provincial Strathcona,
Festivals

Festival des Premières Nations (Victoria),
Festival de musique Folk (Victoria);
Festival de la Francophonie (Victoria),
Brant Festival : fête de la vie animale sauvage (Parksville),
Personnalités
Bill Reid (sculpteur),
Emily Carr (peintre),
Phyllis Webb (poète),
Chief Mungo Martin (sculpteur, peintre, chanteur),
Films et bandes dessinées
Films
X-Men: The Last Stand, de Brett Rattner, États-Unis, 2006
X2, de Bryan Singer, États-Unis – Canada, 2003
13th Warrior, de John McTiernan, États-Unis, 1999
The X-Files, de Rob Bowman, États-Unis – Canada, 1998
Francophonie

Environ 56 % des francophones de la Colombie-Britannique habitent dans la région métropolitaine de Vancouver (29 795) ou dans celle de Victoria (5 985). Selon les chiffres de 2006, il y a dans la province 70 410 locuteurs dont le français est la première langue.
Faits inusités

Chaque année, une grande course de baignoires a lieu à Nanaimo. Parmi les engins les plus insolites qu’on a pu voir par le passé, mentionnons une baignoire sur coussin d’air, œuvre de la Navy, ou encore un véhicule muni de six toilettes en guise de sièges pour les rameurs, création d’une station d’études biologique.
Entre février et avril, on peut voir jusqu’à 18 000 baleines grises passer le long de la côte ouest de l’île. Les baleines parcourent 9 000 km entre le Mexique et l’Alaska.
Dates
Au moment de l’arrivée des Européens, au XVIIIe siècle, l’île de Vancouver était occupée par les tribus des Nootka, sur la côte ouest, par les peuples salishs, dans le sud et l’est, et par les Kwakiutl, qui résidaient dans le centre et au nord de l’île. Vers la seconde moitié du XVIIIe siècle, des pêcheurs et des négociants russes venaient sur l’île à partir de leurs postes de traite situés en Alaska, territoire qui appartenait alors à la Russie. Ils se procuraient des fourrures auprès des Haïdas des îles de la Reine-Charlotte (Îles Haida Gwaii), un archipel au nord de l’île de Vancouver.
1778 : le Britannique James Cook met le cap sur l’île de Vancouver et jette l’ancre dans la Baie de Nootka, sur la côte ouest de l’île.
La région en bref
L’île de Vancouver est la plus grande île de la côte nord-américaine du Pacifique. Sa population se concentre principalement au sud, dans la région de Victoria, capitale de la Colombie-Britannique. Les toponymes autochtones, espagnols et anglais de l’île gardent les traces des différentes populations qui s’y sont succédé :